lundi, novembre 01, 2010

Cajoline - complèments de lavage - Assouplissant Cajoline - CAJOLINE PRO DEOSOFT 5L

Oh oui, je le sais d'avance, les amis des animaux monteront sur leurs grands chevaux, m'accuseront d'être un traitre à la cause animale, de ne pas aimer ceux qui partagent notre belle planète et qui n'ont jamais demandé, eux, à ce qu'on les dérange ou qu'on les exploite. Oui je sais que ces défenseurs des plus faibles mettront en avant le fait d'utiliser à des fins purement commerciales un malheureux ourson qui était sans doute beaucoup mieux au fond de sa clairière ou sur sa banquise (en fonction de la couleur du dit ourson) et ce, au mépris de toutes les régles de sécurité les plus élémentaires, car c'est un fait, quand nounours se jete sur la pile de serviettes fraichement lavées, il le fait sans filet au risque un jour de tomber à coté !!!




Que dire alors quand on constate que ce valeureux ourson, en plus, n'est équipé d'aucune protection digne de ce nom ? ni casque, ni genouillère, ni coudière, ni même le pourtant fort utile et fort sayant gilet jaune fluo dont le moindre des cyclistes est aujourd'hui doté. Oui, à première vue et en parlant vite, voilà bien des méthodes barbares et d'un autre temps qui ne sont pas sans rappeler les cruels lancés de nains dont Passe Partout, pour ne citer que lui, à eu à faire en son temps. Mais jeter ainsi l'opprobe sur une marque, du fait de ses pratiques publicitaires, serait aller un peu vite en besogne.



En effet, et c'est là que la séquence souvent diffusée au coeur des spots de pub prend toute son importance, outre son parfum délicieux, la plus remarquable des qualités du produit qui nous occupe aujourd'hui est bien l'incroyable douceur et le moelleux incomparable que procure son utilisation sur le linge. On ne vantera jamais assez les mérites de ce complément de lavage et, ces qualités bien présentes à l'esprit, on reviendra sur son avis premier quant à l'utilisation de l'ourson, en reconnaissant bien volontier qu'une pile de serviettes fraichement lavées avec Cajoline, offre la meilleure protection qui soit pour le petit plantigrade et nous irons même un peu plus loin en condamnant l'animal indélicat qui aurait la mauvaise idée de se plaindre, en lui rappelant que sans Cajoline il serait toujours en train de se repaitre de la mousse des arbres, plutôt que de caviar, de filles de peu de vertues et autres paradis artificiels qui sont les siens maintenant que sa notoriété n'a d'égale que le nombre de zéros de son compte en banque !

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